000 01893naaaa2200301uu 4500
001 https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/58760
005 20220220033756.0
020 _abooks.eua.1528
020 _a9782357680791
024 7 _a10.4000/books.eua.1528
_cdoi
041 0 _aFrench
042 _adc
100 1 _aChristian Schiaretti
_4auth
245 1 0 _aSacré souffle. Poésie, théâtre, politique
260 _bÉditions Universitaires d’Avignon
_c2016
506 0 _aOpen Access
_2star
_fUnrestricted online access
520 _a« Pour avoir le souffle de Claudel, il faut s’entraîner. Dans un seul verset, pour conserver un souffle qui tient l’unité de sens du vers du début à la fin, il faut avoir une maîtrise, une connaissance, une sagesse de son rapport au vers, très profondes. » Pour Christian Schiaretti, il ne s’agit pas seulement d’éduquer le comédien à la beauté de la scansion et du souffle, mais aussi d’affiner l’oreille du spectateur à l’élégance d’une belle formulation. La langue et son usage sont au cœur de son travail et il l’a prouvé en installant les Langagières dans le paysage poétique de Reims. Avec Mai, juin, juillet et son mélange générationnel, qu’il considère comme fondamental, Christian Schiaretti lie (par leur parcours similaire), et oppose (par leur positionnement tant politique que théâtral), Barrault et Vilar.
540 _aAll rights reserved
_4http://oapen.org/content/about-rights
546 _aFrench
653 _apoésie
653 _asouffle
653 _avers
653 _ascansion
653 _alangue
653 _aexpression artistique
856 4 0 _awww.oapen.org
_uhttp://books.openedition.org/eua/1528
_70
_zDOAB: download the publication
856 4 0 _awww.oapen.org
_uhttps://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/58760
_70
_zDOAB: description of the publication
999 _c62808
_d62808