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| 245 | 1 | 0 | _aLa bataille de Saint-Cast (Bretagne, 11 septembre 1758) : Entre histoire et mémoire |
| 260 |
_bPresses universitaires de Rennes _c2009 |
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| 520 | _aLe 11 septembre 1758, l’arrière-garde d’un corps expéditionnaire britannique est défaite sur la plage de Saint-Cast par des troupes françaises commandées par le duc d’Aiguillon. Cette bataille ne constitue en fait que l’ultime épisode d’une opération bien plus vaste, l’une des « descentes » sur les côtes de France mises sur pied par Army et Navy au cours de l’été 1758. Ce raid, débuté sous les meilleurs auspices le 4 septembre par un débarquement de vive force, opération presque routinière pour les forces britanniques qui la répètent pour la troisième fois en l’espace de quelques semaines, avait pour objectif Saint-Malo, l’un des principaux ports français. Il a cependant fallu au général Bligh abandonner cette perspective, les défenses de la ville mais aussi la météorologie contraignant ses troupes à rebrousser chemin et à gagner un point de rembarquement. Ce repli est d’ailleurs marqué par des opérations de « petite guerre » dans le bocage breton, exposant les Britanniques au harcèlement des milices gardes-côtes. C’est à l’étude de cette bataille atypique, « entre terre et mer » selon l’expression du chevalier de Mirabeau, que cet ouvrage est consacré. En replaçant l’affrontement du 11 septembre dans un cadre plus large, tactique, stratégique ou diplomatique, il cherche à replacer les événements dans le contexte de la guerre de Sept Ans (1756-1763) d’une part, de ce que l’on a pu appeler la « seconde guerre de Cent Ans » (1689-1815) d’autre part. Mais il s’agit aussi de comprendre ce que purent être les conséquences de ces combats pour les populations du littoral breton, ce qui conduisit aussi à la mobilisation de certains face à l’ennemi, sans négliger pour autant la lente construction de la mémoire de l’événement. Célébrée par Voltaire dès 1758, la bataille de Saint-Cast a en effet été érigée au XIXe siècle en « lieu de mémoire » breton par toute une érudition régionaliste qui y vit tout à la fois le moyen de dénoncer les agissements du duc d’Aiguillon bientôt empêtré dans l’« Affaire de Bretagne » et de vanter une certaine image de la Bretagne, conduite par ses élites naturelles que seraient les nobles. | ||
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